Monisme ou dualisme, schisme constitutif de la didactique du chinois - Joël Bellassen, INALCO
Action | Key |
---|---|
Play / Pause | K or space |
Mute / Unmute | M |
Toggle fullscreen mode | F |
Select next subtitles | C |
Select next audio track | A |
Toggle automatic slides maximization | V |
Seek 5s backward | left arrow |
Seek 5s forward | right arrow |
Seek 10s backward | shift + left arrow or J |
Seek 10s forward | shift + right arrow or L |
Seek 60s backward | control + left arrow |
Seek 60s forward | control + right arrow |
Seek 1 frame backward | alt + left arrow |
Seek 1 frame forward | alt + right arrow |
Decrease volume | shift + down arrow |
Increase volume | shift + up arrow |
Decrease playback rate | < |
Increase playback rate | > |
Seek to end | end |
Seek to beginning | beginning |
When subscribed to notifications, an email will be sent to you for all added annotations.
Your user account has no email address.
Information on this media
La didactique du chinois langue seconde est traversée depuis qu’elle s’est structurée en discipline par une fracture épistémologique, ombre portée de la relation singulière entre langue et écriture en chinois: cette discipline est-elle construite autour d’une unité minimale, le mot, comme dans les langues couramment enseignées, ou bien s’inscrit-elle en rupture en reposant sur deux unités didactiques, le caractère et le mot ? l’approche didactique se doit-elle moniste ou dualiste ? Doit-elle ne conférer à l’écriture chinoise un rôle de simple notation instrumentale de la langue ou bien doit-elle poser d’emblée une dissociation entre un savoir langagier et un savoir graphique, animé par une logique propre et devant faire l’objet d’une transposition didactique spécifique, en partie dissociée de la transmission de la langue ? Le présent article identifie une telle divergence comme un véritable schisme au sein de la didactique internationale du chinois langue seconde.