Quand ne pas dire, c'est faire - Chems Eddine Chiheb -université de Bourgogne
Action | Key |
---|---|
Play / Pause | K or space |
Mute / Unmute | M |
Toggle fullscreen mode | F |
Select next subtitles | C |
Select next audio track | A |
Show slide in full page or toggle automatic source change | V |
Seek 5s backward | left arrow |
Seek 5s forward | right arrow |
Seek 10s backward | shift + left arrow or J |
Seek 10s forward | shift + right arrow or L |
Seek 60s backward | control + left arrow |
Seek 60s forward | control + right arrow |
Decrease volume | shift + down arrow |
Increase volume | shift + up arrow |
Decrease playback rate | shift + comma |
Increase playback rate | shift + dot or shift + semicolon |
Seek to end | end |
Seek to beginning | beginning |
Si vous êtes abonné aux notifications, un e-mail vous sera envoyé pour toutes les annotations ajoutées.
Votre compte utilisateur n'a pas d'adresse e-mail.
Informations sur ce média
Notre communication lors de ce séminaire linguistique visera à parler du silence dans la langue pour tenter de le comprendre. Nous nous proposons d’aborder les différentes occurrences du silence qui veut dire quelque chose et qui fait particulièrement un effet dans le discours. En effet, le plus souvent, on traite qu’un aspect du silence, celui d’espace permettant l’acte de langage, tel le vide permettant l’expression de la matière dans l’univers physique. Le silence est parfois employé comme une méthode très parlante selon le moment que l’on choisit de l’insérer dans le discours. Au début, au milieu ou à la fin, le silence n’en demeure pas moins porteur d’une intention d’agir sanctionnée par (l’acte perlocutoire) quand il est suscité intentionnellement par le locuteur. Ici, l’idée est de montrer l’opérativité (en puissance) du silence et l’effectivité de ce dernier dans le discours. L’objectif est non seulement de récuser l’exclusivité d’une définition le réduisant à une immobilité du comportement linguistique, mais également de proposer une nouvelle perspective concernant sa conception notionnelle, celle du lien existant avec le vouloir-dire de la langue.